Claudius Colas

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Claudius Colas
Biographie
Naissance
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Saint-HurugeVoir et modifier les données sur Wikidata
Décès
Voir et modifier les données sur Wikidata (à 29 ans)
MarneVoir et modifier les données sur Wikidata
Sépulture
SompuisVoir et modifier les données sur Wikidata
Surnom
ClaudiusVoir et modifier les données sur Wikidata
Pseudonyme
Profesoro V. EsperemaVoir et modifier les données sur Wikidata
Nationalité
françaiseVoir et modifier les données sur Wikidata
Activités
Père
Claude Colas (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Mère
Claudine Couzot (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Conjoint
Berthe Tassel (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Enfant
René Claude Colas (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Œuvres principales
L’Adjuvilo (d)Voir et modifier les données sur Wikidata

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Claude François Colas (-), dit Claudius Colas et connu sous le pseudonyme espérantiste Profesoro V. Esperema, est le rédacteur en chef d’une revue catholique et un espérantiste français. Il est un des pionniers français de l’espéranto dans les cercles catholiques.

Biographie

Claudius Colas nait le à Saint-Huruge de Claude Colas, cultivateur, et de Claudine Couzot[1],[2].

En , alors étudiant de 18 ans, il découvre l’espéranto[3]. Il est référencé par Louis-Lazare Zamenhof, dans son Adresaro de la Esperantistoj (eo), sous le numéro 7162[3].

À la fin de l’année , la revue Espero Katolikane parait plus à cause de l’état de santé du père Peltier qui s’en occupe alors[4]. La revue connaît trois mois d’arrêt avant d’être relancée, avec comme rédacteur en chef, Claudius Colas[4]. En , la rédaction et l’administration de la revue déménagent alors à Paris[3],[4].

Le , il épouse Berthe Tassel à Paris[2],[3].

Le , il est accepté par monseigneur Léon Adolphe Amette[4].

En , il publie une proposition d’espérantide, l’Adjuvilo (eo), qui ne sera toutefois jamais utilisé.

Il décède le durant la bataille de la Marne[1], laissant Berthe Colas, sa veuve, et trois enfants en bas âge[5]. Son fils ainé, René Claude Colas, s’investira dans l’association espérantiste des catholiques de France, jusqu’à en devenir président[3],[4].

Œuvres

  • Claudius Colas, L’Adjuvilo, Paris, , 31 p. (lire en ligne)
  • (eo) Claudius Colas, La lignoŝuoj, Montmagny, Katolika Oficejo Esperantista, , 15 p.[6]

Références

  1. a et b (eo) « Enciklopedio de Esperanto », sur www.eventoj.hu, (consulté le )
  2. a et b « Acte d’état civil », sur www.archives71.fr (consulté le )
  3. a b c d et e (eo) M. Delcourt et J. Amouroux, « Espero Katolika - 1976.02 : Claudius Colas - Pioniro de la katolika esperanto-movado (Unua parto) » [« Claudius Colas - Pionnier du mouvement espérantiste catholique (Première partie) »], sur www.esperokatolika.org (consulté le )
  4. a b c d et e « Artikoloj el Espero Katolika N-ro 9-10/2000 », sur www.ikue.org (consulté le )
  5. « Epizodo de milito », sur literaturo.esperanto.net (consulté le )
  6. « Slipo de : "La Lignoŝuoj." », sur arkivo.esperanto-france.org (consulté le )

Bibliographie

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  • Claudius Colas (en espéranto), sur Wikisource

Liens externes

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