Marteau (outil)

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Schéma d'un marteau

1- Angrois 2- Œil 3- Table 4- Panne 5- Manche
Voir l’image vierge

Un marteau désigne ordinairement un outil percuteur, servant à forger, à frapper ou emboutir, à aplanir ou à faire du bruit ou produire un son, par exemple à aplatir un morceau de fer, à enfoncer un clou, à faire vibrer un résonateur etc.. Il peut représenter un mécanisme ou une pièce d'un dispositif à fonction similaire, de taille réduite ou gigantesque. Par extension, on appelle marteau toute masse mobile agissant par percussion.

Définitions

Le marteau, qui, sous des formes perfectionnées comme le couteau, est commun depuis les âges du bronze et du fer, représente aussi une arme redoutable[1]. Il apparaît souvent constituée d'une tête ou masse en métal plein, plus ou moins massive, de forme souvent rectangulaire ou cylindrique, amincie à un bout, emmanchée par une ouverture, nommé trou ou œil, à une tige de bois de diamètre et de longueur variables, dont le bout sert de poignée et à effet de levier plus ou moins long si l'on compte le bras du manipulateur[2]. L'angrois désigne à l'origine le petit coin de fer enfoncé dans l'œil du marteau à travers le manche pour le consolider. La tête est constituée d'une masse métallique et agit par résistance et inertie, augmentée par la longueur du manche et par celle du bras du manipulateur. Un bon marteau est conçu pour que la prise en main corresponde au centre de percussion. La panne désigne la partie opposée au côté plat, "table" ou "aire" de la tête du marteau avec laquelle on frappe. Sa forme très variée constitue un indice du métier ou de l'art pratiqué.

Lorsque la tête est faite d'une matière peu dure comme le bois ou la résine, il ne s'agit plus d'un marteau, mais d'un maillet connus des métiers employant le bois, charpentier, menuisier, tonnelier, charron etc. et lorsqu'il a au moins une face tranchante il s'agit de hache d'ouvrage, par exemple de l'ardoisier.

De multiples marteaux, plus ou moins légers, avec des caractéristiques spécifiques en accord avec les techniques de frappe ou d'usages techniques, sont utilisés dans les arts et métiers, comme dans de nombreuses professions actuelles. Les marteaux du forgeron ou de maçon, ou encore celui du charpentier avec son arrache-clous ou du mécanicien, ne sont confondus que par les béotiens de l'art ou les ignorants de la technique. Il est l'instrument privilégié, l'outil essentiel du dinandier, du chaudronnier, du prospecteur ou encore du géologue, qui en manipulent de toutes sortes pour différents usages. Le marteau est souvent remplacé par du matériel électrique, par exemple le marteau du charpentier a été en grande partie remplacé, dans sa fonction principale, par le pistolet à clous.

Les métaux ou pierres sont qualifiées de "aigres", si, sous le marteau, ces matériaux se révèlent cassants, non malléables et se brisent sous les coups. Au contraire, une matière malléable peut être martelée, travaillée sous le marteau et être ainsi façonnée ou mise en forme[3].

Historique du marteau, origine du mot

Le marteau existe depuis le début de l'intelligence humaine. Il a été utilisé, au début, comme percuteur dur. Déjà en Mésopotamie, on l’utilisait pour creuser dans les mines de cuivre et d’étain. Il a été utilisé à toutes les époques comme outil principal du forgeron.

Le mot français, de genre masculin, est d'abord "martel", mot signalé comme du vieux-français au XIXe siècle. Cette forme authentique d'ancien français s'est maintenu longtemps, insérée dans diverses expressions ou peut-être en raison de sa proximité avec l'italien martello, puisque la forme pluriel de martel, marteaus attestée en 1380, a contaminée rapidement en retour le singulier, engendrant dans les milieux populaires, notre terme "marteau". Ces mots cités proviennent tous du mot latin populaire ou tardif martellus, dérivé de formes diminutives, plus ancienne martulus ou classique marculus. Un rapprochement d'origine avec le mot latin malleus a été suggéré par divers lexicologues et philologues, ce qui justifierait l'appartenance à la famille de mots aussi divers que mail, maillet, mailloche, malléable, malléabilité etc. Le merlin, mot français attesté en 1624, qui provient du latin marculus désigne précisément une hache à fendre le bois, peut-être un outil de frappe à tête polyvalente, marteau d'un coté pour enfoncer un coin, hache de l'autre, à l'origine. A partir de 1803, le mot désigne aussi la masse è assommer les bœufs à l'abattoir[4].

Pendant le Moyen Âge, son usage s’est développé ; il est utilisé comme outil pour rentrer de petits morceaux de bois pointus (ancêtres du clou) pour clouer des planches ensemble. À cette époque, il est aussi utilisé pour ferrer les chevaux. Vers les années 1400, il devient aussi l’outil des cordonniers, qui s’en servent pour attendrir le cuir et pour différents usages.

Les marteaux de mineurs, de carriers ou de tailleurs de pierre se déclinent en grand nombre. La "smille", attestée en 1676, est un marteau à deux pointes avec lequel le carrier pique le moellons pour en régulariser les faces[5]. Cette opération se nommait smillage au cours des chantiers en 1846.

Notons que le terme de genre féminin masse était en partie synonyme de marteau au XIXe siècle, ne désignant pas seulement le lourd maillet pour enfoncer des coins dans du bois à fendre dans le monde rural ou le lourd marteau des carriers. Elle représentait divers marteaux de formes variées, des nombreux marteaux employés par les mineurs, charpentiers, menuisiers, charrons, plombiers aux marteaux des sculpteurs, pour dégrossir le marbre[6].

Ce n’est que pendant le XIXe siècle que se développe son usage, le plus répandu, enfoncer des clous, des pointes ou poser des rivets en métal. Au moment où le marteau devient symbole du travail industriel, le mot tend à s'insérer dans des noms composés désignant des machines-outils agissant par percussion : marteau-pilon, marteau-piqueur, marteau-perforateur etc. Le marteau pneumatique consiste en un piston fonctionnant à l'air comprimé, qui permet la frappe sur un outil. Depuis son invention jusqu’à nos jours, son utilité s’est beaucoup développée et elle semble ne point se tarir.

Les différents types de marteau

Marteau de charpentier, avec arrache clous
Type
Petit marteau spécifique de chapentier, pour planter ou arracher des clous, ajuster un montage de bois etc.
Caractéristiques
Composé de
Poignée, striker (d), tête de marteau (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Utilisation
Utilisateur
Charpentier, charpentier-couvreur (clou du lattis)
Usage
Pose de charpente, réparation, démontage d'ouvrage en bois

modifier - modifier le code - modifier WikidataDocumentation du modèle

Il existe plus une centaine de types de marteaux à main ayant une fonction d'outil :

Gros et petit œuvre

  • marteau de charpentier à panne fendue, dénommé "tille" ou marteau arrache-clou;
  • Le marteau de menuisier ; Le maillet est un marteau tout en bois, en usage chez les charpentiers, menuisiers, tonneliers, charrons etc[7].
  • Parmi la panoplie du maçon, citons le grelet ou gurlet, marteau à panne allongée, le marteau à bretter, la masse, gros marteau pour débiter les moellons, la massette, marteau à long manche pour casser les pierres, le picot dit aussi "dégrade-joint", le smille pointu des deux bouts etc.. Il se sert aussi de la boucharde pour concasser du ciment, de la pierre ou du marbre[7] ; La pierre hachée dénomme la pierre dont les parements sont dressés avec le marteau à bretter.
  • Le marteau de couvreur est souvent nommé esse, asseau ou assette, il emploie aussi la tille marquée par une face tranchante ou le martelet qui est un petit marteau de couvreur en tuiles. L'asseau est un marteau dont la tête est incurvée en arc de cercle, et porte un tranchant à l'une de ses extrémités, il sert à couper et à clouer les ardoises. La lame à deux tranchants est aussi un marteau spécifique de couvreur, pour tailler les ardoises ou les lauzes[7]. * Le marteau à ardoise, de l'ouvrier ardoisier ou couvreur d'ardoises, sert à tailler l'ardoise, à la percer pour l'introduction de clous. La "hache d'ouvrage" employée dans les ardoisières prend la forme d'un marteau à tête et à tranchant pour détailler les blocs et les séparer en feuilles que l'opérateur recoupe ensuite[7].
  • Le ramponot ou ramponneau est le marteau de tapissier
  • Le marteau particulier du vitrier se nomme besaiguë ou bisaiguë ;
  • Parmi les marteaux de tailleur de pierre, rappelons la boucharde, la laie ou marteau bretté, la marteline, la massette, gros marteau à double panne carrée et cintrée, la polka arborant un biseau simple et un biseau dentelé, le rustiqué, la smille, etc. ; La boucharde dont se servait aussi les marbriers, les cimentiers, les bitumiers etc. était définie comme un ciseau portant des pointes et des aspérités. Elle se décline en rouleaux à pointe ou en marteau à une ou deux têtes interchangeables. La marteline est un marteau de fer pointu d'un côté et diamanté de l'autre, servant à piquer et égrener la pierre ou le marbre sans faire d'éclats[7]. La laie peut désigner : i) un marteau à deux têtes, dénommé aussi marteau bretté, utilisé pour dresser les parements des pierres ii) un marteau à panne unique et tranchante, servant pour piquer les moellons. Une pierre layée désigne une pierre qui a été travaillée à la laie. Le rustiqué est un marteau qui présente des extrémités aplaties dans le sens du manche, offrant des tranchants découpés en forme de dents. Si une pierre rustiquée est celle qui a été hachée, dressée, puis grossièrement piquée à la pointe du marteau, la pierre smillée est équarrie et grossièrement façonnée à la pointe du marteau. Le smillage est un travail de dégrossissage appliqué au moellon brut et aux pierres meulières. Smiller consiste à piquer le grès ou les moellons avec la smille.

Travail du métal et mécanique en général

Concernant les marteaux de forge. Il en existe de modestes dans l'atelier et des énormes dans les installations d'industrie. Pour les manipuler, l'ouvrier disposait d'un "ressort de marteau", pièce de bois ou de fer fixé par un bout et agissant comme un ressort pour relever le manche d'un gros marteau de forge. La partie inférieure d'un gros marteau de forge est nommée panne. En métallurgie, le ""resuage" désigne l'expulsion des scories lors du cinglage de la loupe de fer, au martinet ou au marteau-pilon. L'applatissoir est une sorte de marteau servant à aplanir les métaux[8]. La sonnette est un marteau servant à prendre, au poinçon, une empreinte en creux sur la matrice. Le matoir est un marteau à river à chaud. Rappelons que le verbe river signifie aplatir ou recourber à coups de marteau la tête d'un clou ou d'une broche de fer. Le rivet s'apparente ainsi à un clou ou une cheville métallique qui sert à réunir et associer deux bandes de tôle en chaudronnerie, en charpenterie ou constructions métalliques. Ses extrémités au terme du montage sont aplaties à coups de marteau, dénommé rivoir, au moment de la mise en place et de la fixation définitive. Une machine à river se nomme rivoir ou riveuse. Il existe aussi le marteau à rentrer, à suager, à degrés, à boudin, à grain d'orge, à paume en long, à deux haches, à pioche. Le matoir est un outil qui sert à mater ou matir une surface métallique, c'est- à-dire à la rendre mat, sombre ou dépolie.

  • Travaux de moulage : la robine s'apparente à un petit marteau de bois, à tête circulaire assez large, avec lequel le mouleur tasse le sable dans le moule.
  • Parmi les marteaux de maréchal-ferrant, signalons le ferretier ou ferratier ;
  • marteaux de mécanicien. En mécanique, l'expression "piquer une chaudière" signifie détacher le tartre adhérant aux parois à l'aide d'un marteau pointu. Afin de marquer le place d'un futur trou dans une pièce de métal, l'ouvrier mécanicien frappe avec un marteau sur le pointeau, pointe tronconique en acier.
  • La martoire est un marteau à deux pannes employé par les serruriers. En serrurerie, le lardon était un marteau de fer ou d'acier, introduit dans les crevasses d'une pièce à forger, pour les faire disparaître, par la soudure à chaud de ce morceau avec la masse[7]. Le moine est une sorte de masse ou de marteau à tête pointue qui permet d'enfoncer des chevilles à tête perdue. Un pannoir est un marteau destiné à aplatir la tête des aiguilles.
  • La masse est un marteau de charron pour enrayer les roues. Le marteau postillon, marteau rivoir et marteau à garnir sont utilisés en carrosserie[9] ;
  • marteaux de chaudronnier, de ferblantier.

Le pifre est le gros marteau de l'ouvrier batteur d'or.

  • marteaux à battre le cuivre du dinandier ou chaudronnier de cuivre
  • Les relieurs emploient aussi un marteau à battre, dont la convexité se nomme panse.
  • Le marteau à ciseler. Il y a des parties que le marteau du ciseleur ne peut atteindre, ce dernier opérateur utilise un ciselet, nommé planoir, pour les aplatir.
  • petits marteaux d'orfèvres-bijoutier
Marteaux utilisés en orfèvrerie.
  • marteau à pointes, à dents
  • marteau à plaquer, à frapper devant
  • marteau à sertir
  • marteau à emboutir : c'est un gros marteau en bois dont un embout démesuré sert à donner une forme grossière à une pièce plate.

On doit mentionner aussi dans l'industrie les marteaux frontaux, à bascule ou à soulèvement mus par un moulin à eau comme les vieux marteaux à drômes, les martinets d'autrefois ou par un moteur comme les marteaux-pilons, gros marteaux de forges où la masse pesante agit verticalement, fonctionnant à la vapeur, à l'air comprimé ou à l'électricité. Un martinet est un marteau à bascule, mu par une roue à cames, commandée par un moteur quelconque, et qui sert dans les grosses forges à battre le fer[7].

Autres Arts et métiers

  • marteau d'assiette ou de paveur
  • La picoche sert à détacher le sel incrustant les chaudières marines.
  • marteau de charbonnier ;
  • marteau d'électricien ;
  • marteau à piquer les soudures ;
  • Rappelons le marteau d'accordeur de piano forte, où chaque touche du clavier commande un petit marteau actionneur, qui a remplacé le sautereau ou languette de bois mince agissant sur les cordes vibrantes des clavecins ; Le longuet désigne un marteau de facteur de pianos, il permettait d'enfoncer dans la table les chevilles de fer, auxquelles sont attachées les cordes métalliques vibrantes[7].
  • marteau de placage utilisé en marqueterie ;
  • La tille présentant une face tranchante est un marteau de tonnelier, le paroir à panne tranchante également pour parer l'intérieur des tonneaux[7]..
  • marteau à battre le cuir ou marteau de cordonnier ;
  • marteau à piquer les meules ;
  • Les carriers utilisaient le mail ou la mailloche, gros marteau de fer pour enfoncer les coins dans la roches, le têtu, gros marteau carré à panne dentée, servant à abattre la pierre et à la détacher de son lit, le picot, marteau pointu avec lequel on soulève les pierres etc.;
  • Marteau de tapissier garnisseur à pointe aimantée.
    Marteau de tapissier garnisseur à pointe aimantée.
  • Le marteau Estwing, ici avec plus de 30 ans d'usage, est utilisé par les géologues du monde entier.
    Le marteau Estwing, ici avec plus de 30 ans d'usage, est utilisé par les géologues du monde entier.
  • Marteaux de ciseleur - Mobilier national.
    Marteaux de ciseleur - Mobilier national.

Sports, exploration, arts libéraux (droit ou médecine)

Outils proches

  • La masse désigne aujourd'hui diverses sortes de gros marteaux, employés en percussion par les tailleurs ou les bûcherons.
  • Le maillet n'est pas stricto sensu un marteau à tête métallique, car il est tout en bois à l'origine. La tête est faite aujourd'hui de matériau comme le bois ou le caoutchouc, ou encore en laiton, métal assez facilement déformable ou en matériaux plastiques.
  • La batte est, à la rigueur, un marteau léger dont le point servant à la percussion est plat ou strié. Elle est utilisée en carrosserie pour le planage (finition du redressage) des pièces.

Héraldique et blasons

N'oublions que le marteau d'armes est une arme de guerre. Le martel de la connétablie est l'emblème de la charge de connétable.

Représenté avec une enclume, le marteau symbolise souvent une forge sur les médailles et les monnaies.

  • Le marteau associé avec une faucille constitue un symbole graphique utilisé pour représenter le communisme. Il dépeint le marteau du prolétariat ouvrier et la faucille des paysans ; leur jonction symbolise l'union entre les travailleurs agricoles et industriels. (Voir Faucille et marteau.)
    La faucille et le marteau.

Notes et références

  1. Pierre Larousse, opus cité, mentionne le martel ou marteau d'armes.
  2. Henry de Graffigny, Dictionnaire des termes techniques, opus cité, entrée marteau. Définition complémentaire du Grand Larousse et du dictionnaire Le Robert
  3. Henry de Graffigny, Dictionnaire des termes techniques, opus cité, entrée marteau.
  4. Dictionnaire Le Robert
  5. Dictionnaire Le Robert, 2007. L'origine latine serait le mot smila, à rapprocher du grec smilê, dont la signification précise est ciseau.
  6. Hubert de Graffigny, opus cité, entrée polysémique "masse"
  7. a b c d e f g h et i Henry Graffigny, Dictionnaire des termes techniques, opus cité
  8. Ce terme associé aux vielles installations de platinerie est resté pour qualifier les trains de laminoir, c'est-à-dire les lourds cylindres entre lesquels les barre de fer peuvent être aplaties.
  9. Lycée Gaston BARRÉ R.D, Cours de carrosserie : La remise en forme par chocs et rétreinte (lire en ligne)

Bibliographie

  • Henry de Graffigny, Dictionnaire des termes techniques employés dans les sciences et dans l'industrie, Imprimerie Deslis Frères (Tours), H. Dunod et E. Pinat éditeurs, Paris, 1906, 839 pages, préface de Max de Nansouty. Recueil de 25.000 mots techniques avec leurs différentes significations. Entrées Marteau page 508-509, martinet, martoire p. 509, masse, massette p. 510, matoir p. 511, moine p. 529, ordon (marteau de forge) p. 567, pannoir p. 583, paroir p. 590, picoche p. 614, picot p. 615, pifre p. 619, polka p. 642, ramponot p. 679, rivoir ou marteau à river p. 705, robine p. 706, smille p. 738, sonnette p. 741, têtu p. 778, tille p. 783-784, trembleur p. 797, applatissoir p.31-32, asseau p.46, batterand p. 79, brochoir p. 120, chasse carrée p. 166, décintroir p. 253, ductilimètre p. 291, épinçoir p. 329, esse p. 337, flatoir p. 367, fonçoir p. 371, frappe-devant p. 379, frontal p. 381, grelet ou gurlet p. 410, hache d'ouvrage p. 417, laie ou marteau bretté p. 469, lame à deux tranchants p. 470, lardon p. 475, longuet p. 491, mail ou mailloche, maillet p. 499. Parmi une centaine d'autres entrées concernant les divers marteaux.
  • Pierre Larousse (dir.), Grand dictionnaire universel du XIXe siècle : français, historique, géographique, mythologique, bibliographique...., en 17 volumes, Administration du grand Dictionnaire universel, Paris, 1866-1890, en particulier Tome 10 L-MEMN, entrée marteau, martel (vieux français), martelé (adjectif), marteler (verbe) p. 1266-1269.

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