Mauricio Carlavilla

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Mauricio Carlavilla
Description de l'image Mauricio Carlavilla 1940.jpg.
Données clés
Naissance
Province de Cuenca
Décès (à 86 ans)
Madrid
Nationalité Espagnol
Profession
Essayiste

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Mauricio Carlavilla (1896-1982), également connu sous le nom de plume de Mauricio Karl[1], est un auteur espagnol connu pour ses opinions franquistes, anti-anarchistes, antimaçonniques et anticommunistes. Son véritable nom serait Julián Carlavilla del Barrio selon l'historien José Antonio Ferrer Benimeli[2].

Biographie

Il fut officier de police de profession[1]. Il est l'auteur d'une biographie de Gueorgui Malenkov. Il est le traducteur du livre de théorie du complot paru sous la signature de José Landowsky Symphonie en rouge majeur[3], évoquant un interrogatoire véridique ou inventé de Christian Rakovsky par un certain José Landowsky à l'époque du stalinisme.

Il entretenait une amitié avec l'essayiste Eduardo Comín Colomer,[4], le commissaire Santiago Martín Báguenas et le général Emilio Mola.[5]

Thèses

Pour Carlavilla, la maçonnerie est responsable de la perte des colonies espagnoles dans le monde[2].

Œuvres

  • Malenkov. Biografía política y psicosexual, Editorial Nos, (1954).
  • Borbones masones, Acervo (1967).
  • El enemigo, marxismo, anarquismo, masonería, 1934 et 1937
  • Asesinos de España; marxismo, anarquismo, masonería, Suite du livre El enemigo, marxismo, anarquismo, masonería.
  • Anti-España 1959 : autores, cómplices y encubridores del comunismo, 1959
  • El comunismo en España, 1932, 1935
  • Técnica del Komintern en España, 1937
  • El rey. Radiografía del reinado de Alfonso XIII
  • Guerra. Sobre lo que sabe el FBI y la inteligencia militar americana sobre cuando estallará, Editorial Nos, (1953)
  • Pearl Harbour, traición de Roosevelt, 1954.
  • Kruschev, avec David Rosenberg, Editorial Nos, 1958.
  • Satanismo
Rééditions avec préface et annotation
  • Yo, Ministro de Stalin en España, de Jesús Hernández Tomás[6].
  • Yo Escogí La Esclavitud (Vida y Muerte En La U.R.S.S.), Ediciones Maracay, 1953.[Note 1]. Cette édition a été considérée comme un cas de piraterie éditoriale[8] (sur l'autobiographie de 1950 de Valentín González la vie et la mort en URSS), parodie du titre de 1947 du transfuge Victor Kravchenko, J'ai choisi la liberté ! La vie publique et privée d'un haut fonctionnaire soviétique.
  • Yo y Moscú, Editorial Nos, 1955.[Note 2] (sur Indalecio Prieto).
  • Masonería española, De Miguel Morayta Sagrario, Editorial Nos, 1956.[Note 3]
  • Correspondencia secreta, Editorial Nos, 1961.[Note 4] (sur Francisco Largo Caballero)

Liens externes

  • Biographie de Mauricio Carlavilla par Eduardo Conolly

Notes et références

Notes

  1. En el periódico ABC, número del 3 de mayo de 1936, antes del golpe de Estado de julio de 1936, aparece un detallado artículo sobre estos sucesos[7].
  2. Textos de Indalecio Prieto, comentados por Carlavilla[9].
  3. De Miguel Morayta Sagrario, commenté par Carlavilla, littéralement «amplifications et réfutations de Mauricio Carlavilla».
  4. De Francisco Largo Caballero, prologue et notes de Carlavilla[10].

Références

  1. a et b texte en ligne Herbert Rutledge Southworth, Conspiracy and the Spanish Civil War: the brainwashing of Francisco Franco, p.207
  2. a et b La masonería española en Filipinas, Volume 1, par Por Susana Cuartero Escobés, José Antonio Ferrer Benimeli, p.55
  3. Sinfonia en Rojo Mayor, texte en ligne attribué à José Landowsky
  4. Álvarez Chillida 2002, p. 394, 429.
  5. Álvarez Chillida 2002, p. 320.
  6. (en) « Amazon.com : Yo, ministro de Stalin en España : Jesús Hernández : Books », sur amazon.com (consulté le ).
  7. « Del supuesto atentado contra el Sr. Azaña que había de perpetrarse hace un año », ABC,‎ , p. 41-42 (lire en ligne).
  8. Hernández Sánchez 2008, p. 93.
  9. « Yo y Moscú », Fundación Sancho el Sabio
  10. « Correspondencia secreta. Prólogo y notas por Mauricio Carlavilla. », HathiTrust
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