Problème des 100 000 ans

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Moyenne de mesures de quantités d'oxygène 1818O), indicateur de la température, au cours des 600 000 dernières années.

Le problème des 100 000 ans découle de l'observation d'un écart entre les températures de la Terre (en) et la quantité d'ensoleillement qu'elle reçoit, principal facteur de changement climatique planétaire, sur une période de 100 000 ans.

Cycles de Milankovitch

Selon les cycles de Milankovitch, l'ensoleillement dépend du rayonnement solaire, de la distance Terre-Soleil et de l'inclinaison de l'axe de rotation terrestre. Au cours du dernier million d'années, on observe ainsi des cycles variant selon des périodes de 21 000, 40 000, 100 000 et 400 000 ans. Ces cycles engendrent des changements climatiques et sont, notamment, un facteur déterminant de la durée et de l'étendue des glaciations. L'analyse isotopique montre que le cycle dominant est celui des 100 000 ans, mais le « forçage orbital » lors de ce cycle est faible.

Stades isotopiques de l'oxygène

Mesures de la quantité de δ18O au cours des 120 000 dernières années.

Les températures du passé peuvent être déterminées à l'aide d'analyses isotopiques des couches sédimentaires. L'une des méthodes les plus précises consiste à évaluer la quantité d'oxygène 18 (δ18O). En effet, cette quantité dépend principalement de la quantité de glace ainsi que de la température de la planète.

Notes et références

(en) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en anglais intitulé « 100,000-year problem » (voir la liste des auteurs).

Voir aussi

Articles connexes

Liens externes

  • 3.3 Les variations à haute fréquence des derniers 100 000 ans sur http://www.ccstib.fr
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